
Les ailes à caissons sont un type d'ailes utilisées dans des disciplines sportives de traction telles que le kitesurf, le snowkite, le kite buggy, ou de vol telles que le parapente, le speedriding.
L’aspiration dans un nuage est un phénomène bien connu des pilotes de parapente et de deltaplane lorsque ces pilotes rencontrent de fortes ascendances sous la base d'un cumulus congestus ou d'un cumulonimbus. L'intensité des ascendances sous et dans le nuage est directement reliée à l'extension verticale du nuage cumuliforme.

L'effet miroir est l'interaction entre le parachute de secours et le parapente volant en opposition, et induisant un taux de chute plus important que le parachute de secours seul.

Les élévateurs ou élevons sont des surfaces de contrôle généralement placées sur la queue d'un aéronef, qui permettent de modifier son attitude et l'angle d'attaque des ailes.

Une fermeture sur un parapente est une déformation soudaine du profil souple de l'aile résultant d'un angle d'incidence trop faible qui ne permet pas de maintenir la surpression interne. Cette fermeture peut se produire sur toute l'envergure de l'aile ou sur une partie seulement. Si la fermeture n'affecte qu'un seul côté de l'aile, on parle d'une fermeture asymétrique, sinon on parle de fermeture frontale.

S'il y a un vent régulier, ni trop fort ni trop faible, on peut pratiquer le gonflage d'un parapente, en faisant du « travail au sol ». Cet exercice, qui est toujours le premier contact d'un débutant avec son aile, consiste à faire voler sa voile en gardant les pieds au sol. C'est un très bon exercice pour apprendre à mieux « sentir » sa voile lors d'un gonflage dos à la voile, et pour apprendre à mieux contrôler sa voile lors de gonflages face à la voile : même les parapentistes les plus expérimentés ont toujours quelque chose à apprendre de cet exercice.

La météorologie de la montagne est un sujet complexe car les montagnes bloquent la circulation générale des masses d'air et engendrent des modifications significatives du temps local par rapport au temps en plaine en amont. Ainsi, en France, par flux de nord-ouest, le temps peut être beau et frais en plaine tandis qu'en montagne, de gros cumulus se formeront, bloquant la masse d'air post-frontale et déclenchant des giboulées de neige. Réciproquement, par régime de sud-ouest annonçant l'arrivée d'un front chaud, le temps peut être pluvieux en plaine tandis qu'en montagne, le temps est « splendide » à cause d'un effet de fœhn.

Un mousqueton est un anneau métallique possédant un système d'ouverture facile. On peut y glisser une corde, un anneau ou s'en servir comme point d'attache. C'est un connecteur utilisé en particulier dans des activités demandant l'utilisation d'un baudrier : alpinisme, escalade, spéléologie, via ferrata, travail en hauteur ... Dans le cadre des activités nautiques, on trouve des mousquetons sur les voiles, les drisses ainsi que sur les harnais de sécurité.

La série de parapentes Huapi est produite par la société Nervures (en), basée à Soulom. Homologuée pour la première fois en 2005, elle a été fabriquée à 838 exemplaires jusqu'en 2010. Elle a été remplacée par le modèle Morea dans la gamme du fabricant.

Un parachute de secours, aussi appelé secours, est un parachute porté par les pratiquants du parapente.

Le paramoteur est un aéronef de la catégorie des aérodynes. Il est composé d'une voile de parapente, et d'un moteur léger intégré à une cage de protection portée sur le dos du pilote. Une hélice offre la poussée nécessaire.

Le parapente est un aéronef dérivé du parachute, permettant la pratique du vol libre ou du paramoteur. De nos jours, son utilisation, qui constitue un loisir et un sport, est indépendante du parachutisme et se rapproche plus d'autres pratiques de sports aériens comme le vol à voile ou le deltaplane. Le mini parapente étend encore les possibilités de pratiques.

Le parapente se prête fort bien au biplace ou tandem parapente. Une voile un peu plus grande, une deuxième sellette et des écarteurs pour séparer le pilote de son passager, et on peut voler à deux.

Le parapente radiocommandé (RC) est un modèle réduit d'aéronef piloté à l'aide d'une radiocommande. Il est tout simplement le modèle réduit d'un parapente à l'échelle d'environ 1/5. Nous retrouvons les mêmes types de vol qu'un parapente grandeur nature. Le vol dynamique, appelé également vol de soaring, se pratique le plus souvent en bord de mer au niveau de falaises, alors que le vol de thermique se pratique le plus souvent en montagne. La radiocommande émet un signal à un récepteur qui contrôle les servomoteurs modifiant la surface de la voile en fonction de la position des joysticks de la télécommande.

Le speed riding est un sport de pleine nature associant la mini-voile et le ski, dont le principe est de rester au sol en allant le plus vite possible équipé d'une voile de faible surface, d'une sellette, et d'une paire de skis, en alternant le vol et la glisse. On peut ainsi accéder par gravité à des endroits qui n'étaient pas accessibles par les moyens traditionnels, passer en vol des zones inaccessibles à skis.

Le tangage est un mouvement de rotation autour de l'axe transversal d'un objet en mouvement.

La voltige en parapente, parfois désignée parmi les pilotes sous le terme d'« acro », pour acrobatie, est une forme de vol en parapente, au cours de laquelle les pilotes sont amenés à effectuer des manœuvres inhabituelles aux limites du domaine de vol de leurs ailes. Bien que des exercices de voltige très simples soient enseignés en école de vol, le terme de voltige désigne plus communément un ensemble de manœuvres radicales effectuées uniquement par des pilotes très expérimentés.